Mais dis-moi qui va me sauver? Depuis que je t'ai perdu, moi je sais même plus où aller. Et le monde peut bien cramer que ça ne ferait plus rien. J'ai perdu l'amour de ma vie, j'ai perdu mon ange, mon bébé. Mais depuis que t'es plus dans mon lit, j'ai plus que des balles à me tirer.
dimanche 30 octobre 2011
jeudi 27 octobre 2011
lundi 24 octobre 2011
dimanche 16 octobre 2011
" Mais peut être qu’on est mieux toute seule ? Oui on peut dormir en travers du lit. Manger des biscottes toute la nuit. Ecouter la même chanson en boucle cent fois de suite. Mais alors plus de caresses. Plus de câlins. Non, on n’est surement pas mieux. Étendre le bras dans le grand lit et ne trouver personne. Même pas quelqu’un qui m’énerve. Même pas quelqu’un qui me dégoute. Personne. Non ce n’est sûrement pas mieux. Moi j’ai besoin qu’on s’occupe de moi. Qu’on m’aime ou qu’on me dégoûte. Ou qu’on m’énerve ou qu’on me fasse rire. Mais aussi qu’on me laisse tranquille. De quoi j’ai plus besoin, qu’on s’occupe de moi ou qu’on me laisse tranquille ?
C’était marrant avant de discuter avec toi. C’était marrant quand j’aimais tout de toi. Toi en bloc. Tes faiblesse, tes défauts, je les aimais aussi tes défauts. Et j’aimais quand on discutait. J’aimais avoir tort contre toi, et raison avec toi. Et t’embrasser, et te couper la parole pour lancer oh là là tu as la peau douce. Et jouer au bébé, et jouer à l’adulte. Et mettre un doigt dans ta bouche pendant que tu parlais pour t’énerver un peu. Toucher tes dents, te retrousser le nez, te malmener. Je t’appartenais. Tu m’appartenais. Tu le sais bien qu’on était comme ça. "
C’était marrant avant de discuter avec toi. C’était marrant quand j’aimais tout de toi. Toi en bloc. Tes faiblesse, tes défauts, je les aimais aussi tes défauts. Et j’aimais quand on discutait. J’aimais avoir tort contre toi, et raison avec toi. Et t’embrasser, et te couper la parole pour lancer oh là là tu as la peau douce. Et jouer au bébé, et jouer à l’adulte. Et mettre un doigt dans ta bouche pendant que tu parlais pour t’énerver un peu. Toucher tes dents, te retrousser le nez, te malmener. Je t’appartenais. Tu m’appartenais. Tu le sais bien qu’on était comme ça. "
samedi 15 octobre 2011
mardi 11 octobre 2011
lundi 10 octobre 2011
Ce week end avec quelqu'un d'autre n'a rien donné. N'en parlons plus. Comme toi, je voulais être fixée, être certaine d'avoir fait le bon choix. Pardon de t'avoir fait cela. Je voulais aussi que tu sentes à quel point j'ai souffert pendant ces vacances. C'est idiot, je le sais. Parce que tu ne sauras jamais à quel point tu m'as fait mal.
Nous sommes fait l'un pour l'autre. C'est effrayant. Tout est beau avec toi, même moi. Mais j'ai peur de ta peur. Il est insupportable que je ne sois pas la seule personne de ta vie. Je hais ton passé qui encombre mon avenir.
J'aimerais que toute cette douleur serve à quelque chose. Pourquoi ne me fais-tu pas confiance? Tu crois qu'on s'aime uniquement parce que c'est compliqué? En ce cas vaut mieux se quitter. Je préfère être malheureuse sans toi qu'avec toi.
Ce que nous faisons est impardonnable. Cessons de nous torturer. Il est criminel de ne pas se dépêcher d'être heureux quand on en a enfin l'occasion. Nous sommes des monstres envers nous même. Allons nous continuer longtemps comme ça? Pour faire plaisir à qui? C'est ignoble de faire autant de peine à soi-même et aux autres, pour rien. Personne ne nous reprochera d'avoir saisi notre chance.
Ceci sera vraiment ma dernière lettre. Je n'en peux plus de jouer au chat et à la souris. Je suis abattue, fourbue, à tes pieds, attendant le coup de grâce. A partir d'un certain niveau de douleur, on perd tout orgeuil. Je ne t'écris pas pour te demander de venir. Je t'écris pour te prévenir que je serais toujours là. Un geste de toi et nous fondons quelque chose. Pas de gestes de toi et je suis toujours là, quelque part, sur la même planète que toi, à t'attendre. Je t'aime à la folie. Je n'ai envie que de toi. Je ne pense qu'à toi. Je t'appartiens corps et âme. "
jeudi 6 octobre 2011
lundi 3 octobre 2011
De mille saveurs une seule me touche lorsque tes lèvres effleurent ma bouche...
J'ai comme envie d'sauter dans l'vide, me passer la corde
au cou, me noyer, M'ENTAILLER LES VEINES DU COUDE
AU POIGNET. J'ai comme envie d'me mettre une balle
dans l'crane mais j'ai pas d'flingue. Regarde moi dans les
yeux tu comprendras qu'j'suis qu'une baltringue...
Inscription à :
Commentaires (Atom)











